Lovey Catherine
Année de naissance et de décès
1967
Biographie
Catherine Lovey est née en 1967 en Valais et vit près de Vevey.
Diplômée de l'Institut Universitaire des Hautes Etudes Internationales à Genève, elle complète sa formation par l’obtention, en 2003, d’un diplôme postgrade en criminologie, auprès de l'Ecole des sciences criminelles de Lausanne. Catherine Lovey exerce le métier de journaliste spécialisée dans les domaines économique et financier. Elle a notamment collaboré auprès de 24Heures, La Tribune de Genève et L'Hebdo.
En 2000, elle prend une année sabbatique qui lui permet de renouer avec l’écriture littéraire. En 2005,elle publie son premier roman, L'homme interdit, pour lequel elle reçoit le Prix Schiller découverte. Cinq vivants pour un seul mort paraît en 2008. Ce roman "interroge le pouvoir et les limites du langage face à la perte d'un proche"[1]. Comme dans son premier texte, Catherine Lovey adopte pour thème central la question de la disparition. Un roman russe et drôle paraît en 2010. Vingt ans après la chute du Mur, ce texte de fiction propose comme « héros de notre temps »[2] la figure de l'oligarque Mikhaïl Khodorkovski, l’ex-homme le plus riche de Russie, condamné à la colonie pénitentiaire en Sibérie suite à l'affaire Ioukos.
A collaboré à
- 24 Heures
- L'Hebdo
- La Tribune de Genève
Prix
- Prix Schiller découverte, 2006
- Bourse culturelle Leenaards, 2006
Bibliographie sélective
- L'homme interdit, éd. Zoé, 2005
- Cinq vivants pour un seul mort, éd. Zoé, 2008
- Un roman russe et drôle, éd. Zoé, 2010
Découvrez et empruntez les œuvres en lien avec Catherine Lovey disponibles à la Médiathèque Valais
Pour en savoir plus
Sources
- Anne Pitteloud, "Catherine Lovey. Au bout du tunnel", critique parue dans Le Courrier du 12 avril 2008
- Isabelle Rüf, "Un roman russe et drôle, vrai bonheur de lecture" et "Sibérie, territoire d’écriture", parus dans Le Tempsdu 15 janvier 2010
- Anne Pitteloud, "Catherine Lovey. Au bout du tunnel", critique parue dans Le Courrier du 12 avril 2008
- Isabelle Rüf, "Un roman russe et drôle, vrai bonheur de lecture" et "Sibérie, territoire d’écriture", parus dans Le Tempsdu 15 janvier 2010